Après un court coup de blues dimanche dernier,
Après un court coup de blues dimanche dernier, j'ai repris du poil de la bête (et pas seulement au sens figuré, il va falloir que je me décide a prendre l'épilateur avant ce week end - week end d'intégration, ndlr). Il le fallait en même temps : au programme du week end dernier, conception d'une robe de "déesse", et ce à la main, dans un tissus orange (beurk, merci le BDE).
Ca me rappelle, le "rallye"de mardi dernier. En fait, il s'agissait de nous ligotter les mains 8 par 8, de nous donner une liste de choses à faire ou à rapporter (une photo d un bisou avec un policier, de menus objets servant lors de rapports privilégiés signés de leurs propriétaires, et une phrase hautement intelligente imaginée par le BDE à traduire dans le plus de langues possibles : "Bienvenu à AgroParisTech, et vive le sexe avec le plus beau des présidents" - ça va les chevilles, Yohann?). Peu importe, le truc c'est qu'on se promenait dans la cité universitaire de Paris. Pour ceux qui n'y sont jamais allé, y a tout plein de maisons représentative de pays étrangers. Et on a croisé beaucoup de gens. Mais une chose est sure, les Suédois méritent leur renom : on en a croisé deux, beaux comme des dieux! Avec des yeux d'un bleu limpide et vif, un sourire à tomber par terre... Bref, vive la Suède!
Les français ne sont pas mal non plus. Surtout s'ils sont rugbymen. Qu'ils habitent la même résidence que moi. Que mes collègues de résidences veulent me les refiler parce qu'elles sont casées. Qu'ils me flattent à coup de "tu ne fais jamais de sport? Mais comment entretiens-tu ta ligne?". Qu'ils veulent m'entraîner en boite. Ah, non, c'est vrai, j'ai refusé! Cinq mecs, tous plus baraqués, plus grands que moi qui veulent m'emmener, moi et moi seule en boite, dans leur voiture, la nuit... Non non! C'est parfois dur de dire non, c'est vrai, mais parfois c'est nécessaire! Une prochaine fois, les gars.
A une prochaine, les enfants.